Parcours
Mon parcours
Issu d’une famille d’entrepreneurs, j’ai, depuis ma plus tendre enfance, été marqué par des femmes et des hommes de convictions dont le courage, l’enthousiasme et la ténacité leur ont permis de mener à bien leur projet d’entreprise, de créer des emplois et de la richesse, de développer et d’innover sans cesse, de partager les fruits de leur réussite. Le respect, l’écoute et l’admiration réciproques entre le chef d’entreprise et ses salariés ont forgé la réussite de ces entrepreneurs. J’ai une grande admiration pour ces femmes et ces hommes qui ont pris, et prennent encore, chaque jour, le risque de réussir.
En 2002, c’est la rencontre avec Roselyne Bachelot-Narquin, alors députée de la 1ère circonscription de Maine-et-Loire, qui me pousse à m’engager dans un mouvement politique. L’UMP vient d’être créée par Jacques Chirac et Alain Juppé, je n’ai alors que 15 ans. La personnalité de Jacques Chirac, sa proximité chaleureuse avec les français et son rapport à la terre, ont largement contribué à mon engagement en politique.
Trop jeune pour adhérer à un parti politique, j’assiste néanmoins aux réunions organisées par la droite locale. Je découvre sagement, j’écoute, j’observe, je me familiarise avec le fonctionnement d’un appareil politique. Roselyne Bachelot est charismatique, son aisance orale et sa personnalité me captivent.
En 2003-2004, j’adhère à l’UMP, j’assiste aux réunions et découvre ce qu’est l’engagement militant sur la 1ère circonscription de Maine-et-Loire.
En 2006, Roselyne Bachelot me confie la présidence des Jeunes UMP de Maine-et-Loire.
En 2007, je participe activement à ma première campagne présidentielle, celle de Nicolas Sarkozy. Je n’ai, à ce jour, jamais vécu de campagne aussi exaltante.
Je poursuis mes études de droit, notamment en master I-II droit des affaires à l’Université Panthéon-Sorbonne. J’entre par la suite à Sciences-Po, dans deux cycles, master I-II, de gouvernance européenne et internationale, où je me spécialise sur le sujet de l’harmonisation de la fiscalité des entreprises en Europe.
En 2014, je prends part à la création d’une nouvelle sensibilité libérale, sociale et progressiste au sein de l’UMP : la Droite progressiste. Je suis par la suite nommé Secrétaire national de l’UMP et deviens membre du Bureau politique de notre mouvement. Parallèlement, je prépare le concours du barreau de Paris et travaille dans un Cabinet spécialisé en Droit social.
Mon parcours est celui d’un européen convaincu.
Je crois en une Europe qui protège et défend ses intérêts économiques, une Europe de la défense, de la recherche et de l’innovation, une Europe à la pointe en matière de protection de l’environnement, une Europe fière de son Histoire, de ses valeurs et de ses héritages spirituels, une Europe fondée sur l’existence de droits et de devoirs, une Europe de solidarité et de progrès.
Nous vivons une période de troubles économiques et sociaux accrus.
Cette période de tensions et d’incertitudes fait le lit des populistes en tous genres, avides de polémiques, de divisions et de malheurs sur lesquels ils osent faire prospérer leurs idées nauséabondes : celles du repli national, du rejet de l’étranger, de la stigmatisation des uns et de la haine des autres. Je me battrai toujours contre l’extrémisme, sous toutes ses formes. C’est un combat sain et sans relâche qui doit contribuer à voir triompher la morale, la raison et la bienveillance.
Un autre chemin est possible. Ce chemin, c’est celui qui nous invite à nous dépasser, à surmonter les clivages politiques traditionnels et former une union sacrée autour d’un idéal commun : la réussite de la France.
Oui, la construction d’une société meilleure est possible, une société fondée sur des droits mais aussi des devoirs : une société de la bienveillance et de la solidarité, une société fondée sur un nouveau contrat social autour des valeurs de travail, de respect, de mérite, de partage, de tolérance, de liberté, d’égalité, de fraternité et de laïcité.